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LA TRANSPYRENEENNE

LA TRANSPYRENEENNE

Rallier L’Atlantique à la grande bleue via les plus belles routes des Pyrénées relevait il de la gageure ?
Non. Seulement d’une envie, très vieille envie même, enfouie au plus profond de mes rêves.
Par amour de la montagne sans aucun doute, mais aussi parce que une grande partie de ces territoires m’était encore inconnue, ou n’était plus qu’un très lointain souvenir, et par-dessus tout, pour le plaisir de partager des sensations fortes avec ma vieille Deauville.
Il était inimaginable de ne pas associer à cette aventure mes deux fidèles compagnons de route, j’ ai bien sur nommé Alain 24 (et Simone ) et Christian 33. Hélas au dernier moment Alain et Simone n’ ont pu se joindre à nous affectés par le décès du frère de Simone.
Nous avons lancé un S.O.S entendu par Lpascalon, qui en week-end à Niort, a raccroché le wagon à Bordeaux, notre point de rendez-vous. Il nous accompagnera durant les deux premiers jours.
Jacky le cousin de Christian, habitant Hasparren, n’ a pas pu résister à l’envie de nous accompagner le deuxième jour, pour dérouiller le gros V twin de son Aprilla Tuono.
Pas question non plus de bouder le plaisir de piloter, et de regarder les sommets de loin.
Nous avons donc tracé le parcours au plus près des hauts reliefs, en empruntant une grande partie de la route mythique des cols du tour de France .
Si selon les manuels de géographie, cette chaîne montagneuse s’ étire sur 430 km d’ Est en ouest, c’ est plus du double qui s’ afficheront au compteur, en ne tenant compte que de la liaison Saint Jean de Luz - Cerbère.
Je vous invite à en suivre le déroulement « comme si vous y étiez ».


P comme Pyrénées : Frontière naturelle entre France et Espagne, cette chaîne montagneuse siège sur 6 départements ( Pyrénées Atlantiques, Hautes Pyrénées, Haute Garonne, Ariège, Aude, et Pyrénées Orientales). D’un bout à l’ autre, la montagne nous offrira mille facettes aussi séduisantes que variée


P comme putain que c’ est beau. Chaque kilomètre révèle son lot d’émerveillement, qui pour le panorama sur une vallée, qui pour un petit village accroché à la montagne, qui pour un troupeau de chevaux sauvages au sommet d’un col, qui pour un torrent qui serpente dans un écrin de verdure, et dont la seule vue vous rafraîchit aussitôt, pour une source qui glougloute au détour d’un virage. Il est très difficile dans ces conditions de ne pas céder à la tentation de s’arrêter à chaque occasion .


P comme plaisir de piloter ? Allons ne le cachons pas, c’ est là plus la moitié de la motivation à accomplir ce voyage


P comme pneu. Conséquence de la révélation précédente, ils ont soufferts des accélérations pour s’extirper des dix mille virages, des freinages pour aborder les épingles, et des angles de folie pris tout au long du parcours.


P comme partage. Partage des kilomètres entre compagnons de route, partage de moments chaleureux lors des rencontres avec nos amis Moto Gtistes tout au long de notre chemin.
A partager, on ne divise pas le plaisir, on le multiplie.



LE VOYAGE.

Nous passerons sous silence le trajet de liaison, depuis Marmande me concernant, Bordeaux pour Christian, et Niort pour Ludo, pour nous concentrer sur l’ essentiel de la traversée au départ de Saint Jean de Luz..

JOUR 1 : 436 km
SAINT JEAN DE LUZ. Point de départ, et passage obligé par le port et la plage pour immortaliser l’ Atlantique que nous quitterons sous un ciel plombé.





[photo=2] Le port de Saint Jean de Luz











[photo=5] Bateaux de pêche colorés dans le port de Saint Jean de Luz












[photo=3] La plage de Saint Jean de Luz













[photo=4] Le fort de Socoa













[photo=9] Ils partirent trois .............












[photo=10] Ludovicos, Christianos et Tiltos, les trois mousquetaires.













[photo=6] Douceur de la montagne basque













[photo=79] SARE .Montée inoubliable au col de Lizarrieta ( 441m) par une route étroite qui sinue sous une voûte rafraîchissante de chênes hêtres, et aulnes.













[photo=11] Depuis le col de Lizarietta














[photo=7] ESPELETTE. Charmant village emblématique du pays Basque, et capitale du piment.













[photo=8] Ludovic et christian, en surplomb de la Nive













[photo=13] Au pas de Roland












[photo=14] La même dans le désordre













[photo=12] Un Basque bondissant













Le retardateur photo plus rapide que christian ?















[photo=80] Speedy Gonzalez a réussi













AINOHA. Village frontière et étape pour les pèlerins en route vers St Jacques de Compostelle, elle dévoile ses maisons aux façades typiques.













A Ainoha, pour aller faire ses dévotions, il faut traverser le cimetière











DANCHARIA. Ville commerciale, composée de « ventas », magasins pour touristes en mal de produits détaxés, nous permettra une restauration bien méritée avant de regagner notre gîte à Itxsassou.



JOUR 2: 265 km
Première journée de vraie montagne et de grand beau temps, qui ne nous quittera plus.




[photo=81] SAINT JEAN PIED DE PORT. Citadelle fortifiée au bord de la Nive, ses maisons aux façades de grès rose lui donnent un charme fou














[photo=18] COL D’ OSQUICH. Promontoire de 392 m seulement, il offre néanmoins une vue imprenable.














COL DE MARIE BLANQUE. Il relie Escot en vallée d’ Aspes, à Bielle en vallée d’ Ossau, et culmine à 1035 m après une montée en forêt. Il s’ouvre vers les vastes prairies du plateau de Bénou.











[photo=20] Halte détente













LARUNS . Porte de la vallée d’ Ossau , c’est là que nous ferons étape pour le déjeûner.













Laruns














La station de ski de Gourette depuis la montée de l' Aubisque













 [photo=25] COL D’ AUBISQUE. Du haut de ses 1709 m, sa montée offre une vue plongeante sur Gourette et diffère des autres par son absence de végétation. Rien que du minéral, et de la prairie .











[photo=25] Drôles de bicyclettes













[photo=24] Le sommet de l' Aubisque













[photo=23] On y était












COL DU SOULOR. C’ est la continuité de l’Aubisque qui avec ses 1474 m amorce la descente vers Argelès Gazost.












LUZ SAINT SAUVEUR. Ville thermale qui commande l’accès à la vallée de Gavarnie, et nous ouvre l’ accès au col du Tourmalet.














[photo=27] COL DU TOURMALET. Un des plus mythiques de l’histoire du tour de France, qui avec 2115 m sera le plus haut des cols franchis.













[photo=28] La Mongie vu du sommet du Tourmalet













[photo=29] Le deuxième jour touche à sa fin, avec cette vue sur le lac de Payole. Au
loin, le pic du Midi











SAINTE MARIE DE CAMPAN. Sera le terme de notre seconde étape.
Nous y poserons nos valises avant de remonter au lac de Payolle, à mi montée du col d’Aspin. Le calme de ses rives, le coucher de soleil sur le Pic du Midi, l’ observation d’ un troupeau de chevaux, seront l’occasion décompresser un peu après cette journée de fou furieux.
Redescendant sur St Marie de Campan, nous nous sommes restaurés à La Séoube, où « La bergerie » établissement estampillé relais motard par le journal des motards, nous a réservé un accueil chaleureux, une restauration simple mais agréable, et un tarif des plus contenus.


JOUR 3: 317 km

COL D’ASPIN. 1490 m
C’est par cette ascension que débute notre mise en jambes de la troisième étape. Elle demandera, une attention de tous les instants, car l’ombre des sous bois, en même temps que le soleil dans les yeux rendaient la visibilité cahotique. Difficile en effet dans ces conditions, de distinguer les centaines de cyclistes venus défier ce col.
Du sommet, le Pic du Midi nous toise encore à l’ Ouest, tandis qu’à l’Est, les 3000 du Luchonnais nous dévoilent leurs neiges éternelles.
La descente nous réservera d’autres frayeurs à cause des camping caristes qui soucieux de ne pas rayer leurs belles carrosseries, ne nous laissent que peu de place entre le précipice et leurs rétroviseurs.



[photo=33] Christian? Un vrai sportif













[photo=34] Vue sur la vallée d' Aure, depuis le sommet de l'Aspin













COL DE PEYRESSOURDE : 1569m
Peu de cyclistes et de camping-car cette fois pour ce franchissement qui ne fut qu’une simple formalité.











BAGNERES DE LUCHON
Célèbre ville thermale et de sport d’hiver, nous ne nous y attarderons pas.













SAINT BEAT .
Petite ville coincée dans la vallée, et qui ne pouvant se contourner est un passage obligé pour les milliers de camions Espagnols qui traversent sa rue principale très étroite dans un vacarme assourdissant. A fuir au plus vite.




le col de Manté. Une ascension de folie, des lacets à plus de 180°, qui nous ont donné le torticolis, et l' envie de le redescendre pour une nouvelle montée, les valises au ras du bitume. Hein, Christian ? Si sa hauteur n’impressionne guère, du haut de ses 1349 mètres, la sinuosité de sa route nous donnera l’ occasion de nous lâcher un peu. En effet, nous n’ avons pas encore balancé la moto aussi souvent de droite à gauche depuis notre départ.









Nous poursuivons par une route monotone, sans réel attrait après le pied pris précédemment, et traversons une région sauvage où nous nous demandons de quoi peuvent vivre les habitants des villages traversés.







SAINT GIRONS
Petite ville qui semble hésiter entre urbanisme et ruralité elle est la seule agglomération digne de ce nom dans un rayon de 50 km. Les presque 30 km de routes qui suivent, sinuent sous un écrin de verdure des plus rafraîchissants.













COL DE PORT : 1249m
Ce sera la deuxième montée de folie de la journée avec des « pif paf » tous les dix mètres.
Il en naîtra des fous rires tellement on avait l’ air de godiller.













Le guidon est à l' envers, mais la selle bien rembourrée. Voila le genre de encontre que l'on a fait tout au long de ce voyage.













TARASCON SUR ARIEGE :
C’est le retour à la civilisation, et à la circulation dense. Des files interminables de voitures qui cheminent vers l’ Andorre, ou le soleil des Pyrénées Orientales.
Pas de problème à moto pour se frayer un passage, et se déscotcher de ces filles interminables.









AX LES THERMES
Doit son nom aux fameuses sources d’eaux chaudes sulfurées qui jaillissent de terre à 77°.
C’est aussi la porte d’ accès vers les hautes vallées d’ Andorre, tant convoitées par les pèlerins du « duty free », et de ce fait le cadre de bouchons épiques, en attendant la déviation dont les travaux Pharaoniques ont été suspendus il y a plus de 6 ans, faute de budgets pour les achever.




LE COL DU PUYMORENS :
Ce sera le col le plus « rapide » de notre périple. Revêtement excellent , et chaussée large avec quelques créneaux de dépassement.
Nous n’ emprunterons pas le tunnel, qui nous priverait de trop belles courbes et épingles, du panorama sommital, et nous délesterait de quelques euros bêtement gaspillés.








[photo=35] Vue depuis le sommet













[photo=36] Allons Christian, plus que 40 kilomètres avant la fin de la troisième étape.











LLIVIA :
Enclavée en territoire Français, et distante de 3 km de Puicerda, partie Espagnole de Bourg Madame, cette petite ville vit pourtant réellement « à l’ heure Espagnole ».









COL DE LAPERCHE
Là encore une route de rêve par la qualité de son bitume et sa largeur, qui nous permettra de regagner le plateau Cerdan en nous jouant des flots de touristes.


LA LLAGONNE.
Village d’ étape à 1750m,Ce sera le terme de notre troisième et plus longue étape.
Ce village au confluent des vallées du Conflent, du Capcir et de la Cerdagne, jouit d'un micro climat, débarrassé des nuages par les courants d' air qui s'y rejoignent.
Nous investissons le chalet que mon père a bâti intégralement "poc à poc",( peu à peu en Catalan), en utilisant tous ses temps de congès, puis le début de sa retraite plus de 15 ans durant. Il ne le verra pas complètement fini au niveau des extérieurs.
Voici donc quelques vues de notre refuge douillet.






[photo=41] [photo=42]













[photo=43] [photo=44]














[photo=49] Vue panoramique depuis la terrasse du chalet














[photo=45] Allez Christian debout, c'est la journée de repos.











JOUR 4: 96 km
En cette journée de repos, je m’ attacherai à faire découvrir la région à Christian







Ce sera également et surtout l’ occasion de rencontrer Mitch 31 et Sanini, et de partager le dîner avec eux. Une soirée inoubliable.














[photo=46] Le lac de matemale














Sous un autre angle













[photo=47] les pics Péric au delà de la vallée de la Têt













[photo=48] Terre terre!















[photo=50] le four scolaire de Font Romeu Odeillo













Depuis les remparts de Mont Louis












Au loin dans la brume, le sommet mythique du Canigou, pic fétiche des catalans












JOUR 5: 312km
Pour remplir notre contrat, il ne restait plus qu’ à rallier la grande bleue.
Nous empruntons la N 116 qui nous permet au terme de 30 kilomètres très sinueux, de passer de 1700 à 430 m d’ altitude.






[photo=78] VILLEFRANCHE DE CONFLENT :
Citadelle fortifiée par l’incontournable Vauban, Villefranche a joué un rôle important compte tenu de sa position stratégique au confluent des vallées de la Têt et du Cady.








[photo=77] Elle est toisée par le Fort Libéria, destiné à renforcer la défense de la ville, et auquel on accède par un escalier de 1000 marches. Le touriste peu entrainé pourra préférer les navettes.










C’est beaucoup plus récemment, pour désenclaver la Cerdagne, qu’ a été édifiée la ligne de chemin de fer du célèbre petit train jaune, qui serpente tantôt le long des pentes abruptes, tantôt au fond d’ étroites vallées, et traverse des ouvrages d’ art vertigineux. A ne pas manquer pour se plonger dans un autre monde.









THUIR :
Ce non évoque pour certains le lieu de production du célèbre Byrrh , car ne l’oublions pas nous sommes au coeur d’une région viticole de renommée.













[photo=53] COLLIOURE :
Ca y est, on l’ aperçoit, c’ est elle ! De son bleu qui se confond avec le ciel, elle nous invite à un plongeon rafraîchissant. La grande bleue tant attendue, est là à nos pieds.













[photo=54] Au loin Argelès sur mer et la plage du Racou













[photo=55] Collioure nous dévoile ses charmes. Au premier plan le fort Miradou.












[photo=56] Collioure, sous la protection du fort St Elme














[photo=58] La crique sublime













[photo=59] La plage de Collioure













[photo=61] Le but ultime












[photo=60] En Français pour ceux qui pensait à une pub de boisson Ibérique.













[photo=62] On a tous un banc un arbre ou une rue.......
















[photo=63] Heureux qui comme deux moto Gtistes, qui ont fait un beau voyage.











Nous voilà au terme de cette Transpyrénéenne, mais pour nous la route n’est pas terminée, il faut retourner au chalet la haut sur la montagne. Ce serait ballot de refaire le chemin à l’ envers, alors, varions les plaisirs. A Elne, bifurquons à droite pour rejoindre Millas par une route bordée de platanes, comme l’étaient quasiment toutes les routes du midi avant 1970.
De la nous enjambons le col de Bataille par une route qui incite à l’ attaque malgré les 34° au thermomètre, pour nous retrouver à Estagel. Nous remontons par la D 117, en plein pays des Fenouillèdes, dans une large vallée bordée de montagnes arides où s’ accrochent les vestiges ne nombreux châteaux Cathares. Les noms de villages chantent : Cucugnan, Tuchan, Caramany, Prugnanes, et la chaleur est intenable, il n’ y a pas un souffle d’ air. Heureusement nous bifurquons à Axat pour remonter par les gorges de l’ Aude ou curieusement, il fait très frais.







[photo=64] Un avant goût













[photo=65] La verticalité des gorges de l' Aude











[photo=72] Casque de chantier obligatoire












[photo=73] l'Aude tumultueuse











Une demi heure et 1000 virages plus tard, nous sommes déjà à 1300 m d’ altitude, et nous arrêtons fourbus, pour une pause nécessaire, même si nous sommes à 26 km de l’ arrivée. Ce sera l’occasion en nous allongeant dans l’herbe fraîche, de constater à quel point les pneus de nos motos ont accusés le coup. Christian ne s’en est pas remis.






[photo=68] Christian qui rit













[photo=69] Christian qui pleure devant son Z6 destroy













[photo=67] C'est crevant les vacances avec Tit's











[photo=75] Dis, il parait que demain, on rentre au pays. Qu'est ce qu'on s'est bien amusé.











JOUR 6: 360km

C’ est le retour des guerriers, première chevauchée sans gloire de la semaine. Après le franchissement du Col du Puymorens en sens inverse, nous retrouverons les routes bêtement droites et plates . Heureusement, nous étions attendus chez les Yeps, à l’heure du déjêuner, et ça a mis du relief à cette ultime journée. Nous ne pouvons que les remercier de nous avoir chaleureusement reçus, Chrystelle ayant élaboré un repas excellent et circonstancié qui a rattrapé notre carence en fruits et légumes de la semaine.
Comme pour nous faire regretter de rentrer, c’est sous un déluge, que nous avons parcourus les derniers kilomètres.



POUR CONCLURE :
Au terme de ses 1776 km de route, plusieurs choses me viennent à l’esprit.
- La première, d’une banalité qui frise le ridicule, et risque de me faire taxer de franchouillard, c’est que la France est belle ! Souvent à deux pas de chez soi, et malgré sa faible superficie, on n’en aura pas fait le tour demain. Ca devrait nous conforter dans l’idée de développer la fréquence nos balades régionales, car un coeur de Moto gtiste n’est jamais insensible à cette quète de découverte du plaisir simple.

-La deuxième, c’est que la moto est un moyen de locomotion irremplaçable pour accomplir un tel périple. Il n’y a rien de mieux pour apprécier la beauté et à la grandeur des paysages et communier avec la nature .

-La troisième est un compliment de taille dédié à ma vieille Deauville, car durant cette semaine, elle n’ a pas eu grand chose à envier aux rutilantes Teutonnes qui l’ ont accompagnée, l’agilité faisant autant que la puissance sur ces itinéraires de folie.
Nous avons adopté un rythme coulé, mais dynamique, avec quelques passages un peu plus musclés.
Bien sur, là ou les grosses roulaient « sur un filet », la petiote avait besoin d’ aller chercher bien plus haut dans les tours, mais elle et moi aimons bien ça..
La conséquence en fut une consommation moindre avec les BMW, mais inférieure à 5litres / 100km pour tous, ce qui constitue mon record absolu à ces allures. Il faut dire que le surplus réclamé dans les montées est plus que récupéré par les descentes gaz coupés à 60% du temps.
En terme de confort, nous ressentions le besoin de faire une halte quasiment simultanément , ce qui est encore une fois, tout à l’honneur de la Deauville.

- La quatrième, c’est que compte tenu du tracé et de la longueur des étapes, le duo
aurait posé des problèmes de tolérance pour les passagères, et de surcroît de fatigue pour les pilotes.
Il faudrait donc dans ces conditions se limiter à des étapes de 200 km, permettant un rythme plus touristique et de plus nombreux arrêts « curiosités » ou visites.
A méditer donc pour les projets d’avenir, qui pourraient bien prendre forme en 2010 ou 2011 avec une alternance France / Espagne, et une durée de 10 jours mini.

































































































































































































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